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Les femmes regrettent une seule chose dans les relations : Attention, c’est sensible !
Dans la vie sentimentale, il est normal de faire face à des hauts et des bas. Les regrets sont inévitables, mais ils peuvent parfois être gérés et compris. Lorsqu’il s’agit de femmes et de relations amoureuses, un sujet revient souvent : ce qu’elles regrettent le plus dans leur relation.Dans cet article, nous allons découvrir quel est ce regret, et comment il affecte les liens entre deux personnes.
Besoins émotionnels et communication
Pour bien comprendre cet aspect sensible des relations, il faut d’abord voir comment les besoins émotionnels et la communication interviennent dans l’équilibre d’une relation amoureuse. En effet, chaque personne a ses propres attentes et ses propres façons d’exprimer ou de recevoir de l’affection. Il est donc primordial que les partenaires comprennent leurs besoins respectifs et communiquent clairement à ce sujet pour éviter des malentendus.
Le grand regret des femmes : ne pas avoir exprimé suffisamment leurs émotions
De nombreuses femmes considèrent que leur principal regret dans une relation amoureuse est le fait de ne pas avoir été assez expressives quant à leurs sentiments et ressentis. Cela peut se manifestera travers différents aspects du lien :
- L’incompréhension mutuelle : lorsque les deux partenaires éprouvent des difficultés à se comprendre et à percevoir ce que l’autre ressent, cela peut créer des tensions et des frustrations qui sont souvent sources de conflits.
- Le manque d’expression émotionnelle : certaines femmes ont peur de montrer leur vulnérabilité à leur partenaire, ce qui les empêche de partager pleinement leurs émotions et sentiments.
Frustration et tension dans les partenariats
Lorsque ces barrières ne sont pas franchies après un certain temps, elles entraînent souvent un sentiment de frustration et une atmosphère tendue au sein du couple, en particulier pour la femme qui se sent incomprise ou dévalorisée. Cela conduit logiquement à une incapacité à résoudre les problèmes ensemble, et parfois même à la rupture.
Pourquoi les femmes ont-elles du mal à exprimer leurs émotions ?
Si les femmes se retrouvent souvent à regretter leur manque d’expression émotionnelle, les raisons peuvent être diverses : Une éducation stricte ou conservatrice, qui incite à garder ses sentiments et émotions pour soi;
- Des expériences passées où l’expression de leurs émotions a été perçue comme un signe de faiblesse;
- La crainte d’une perte potentielle (relation, amitié, statut social, etc.) si les émotions ressenties sont révélées.
Les stéréotypes de genre et leur influence sur l’expression des émotions
Bien que les femmes soient généralement perçues comme plus émotionnelles que les hommes, elles sont souvent soumises à des standards sociétaux qui tendent à réduire leur liberté d’expression. Cela peut mener à garder leurs émotions pour elles-mêmes, ou à exprimer moins clairement leurs besoins et attentes.
Néanmoins, cette situation n’est pas irrémédiable : il est possible pour les femmes de changer leurs habitudes et d’apprendre à être plus assertives dans l’expression de leurs émotions. De même, les hommes peuvent également faire preuve de soutien en encourageant la communication et en étant à l’écoute des besoins de leur partenaire.
Comment améliorer l’expression des émotions et éviter ce regret ?
Pour parvenir à une meilleure expression des sentiments et des émotions au sein d’une relation amoureuse, voici quelques conseils :
- Identifier ses propres émotions : savoir mettre un nom sur ce que l’on ressent permettra ensuite de mieux le communiquer à son partenaire;
- Développer son intelligence émotionnelle : comprendre ses propres émotions et celles de l’autre facilite grandement la communication;
- Oser exprimer ses émotions : ne pas avoir peur de dévoiler ce que l’on ressent. Le partenaire est là pour partager ces moments, alors il faut accorder sa confiance;
- Établir un climat de dialogue : travailler à créer un espace d’échange et de partage dans le couple pour que chacun se sente à l’aise d’y exprimer ses émotions;
- Comprendre les différences : accepter que chaque personne exprime ou perçoit les émotions différemment. L’important est de découvrir ce qui fonctionne pour chaque individu.
En fin de compte, une communication saine et un partage sincère des émotions sont la clé pour éviter ces regrets et maintenir une relation amoureuse épanouissante.
Masculin.com/ perfection243.net
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Gestion des Finances Publiques : Doudou Fwamba Félicité pour la Mobilisation de 23.625,4 Milliards de CDF, Dépassant les Prévisions Budgétaires 2024
Les régies financières congolaises ont mobilisé 23.625,4 milliards de CDF en cumul annuel au 27 novembre 2024, dépassant les prévisions initiales du budget 2024 de 22.863,1 milliards de CDF, soit un taux de réalisation de 103,3 %. Ce succès, attribué aux efforts des services mobilisateurs et à la hausse des cours des matières premières, représente un exploit pour le ministre des Finances, Doudou Fwamba, qui continue de pousser les régies à maximiser les recettes publiques. Toutefois, le défi reste de taille : atteindre les 27.195,6 milliards de CDF prévus dans le budget rectificatif adopté récemment par le Parlement.
Mobilisation des recettes et performance des régies financières
Selon la Banque Centrale du Congo, cette performance reflète la contribution déterminante des régies financières, notamment la DGI, la DGDA, et la DGRAD. Sur le montant cumulé, les recettes fiscales dominent avec 1.328,3 milliards de CDF. La DGI a contribué à hauteur de 881,9 milliards de CDF, tandis que la DGDA a mobilisé 446,4 milliards de CDF. Les recettes non fiscales, encadrées par la DGRAD, ont atteint 292,7 milliards de CDF.
Malgré ces performances, la mobilisation des recettes pour novembre reste en deçà des prévisions mensuelles de 2.525,7 milliards de CDF, avec un taux de réalisation de seulement 64,2 %.
Exécution du plan de trésorerie : un déficit compensé
L’exécution du plan de trésorerie de l’État s’est soldée par un déficit de 1.201,9 milliards de CDF au 27 novembre 2024. Ce déficit, financé par l’émission de titres publics (500,9 milliards de CDF) et la ponction d’une marge de trésorerie antérieure (700,9 milliards), devrait s’atténuer grâce au paiement du quatrième acompte provisionnel de l’impôt sur les bénéfices et profits prévu en fin d’année.
En cumul annuel, la situation financière de l’État affiche un déficit de 1.272,2 milliards de CDF, résultant de recettes totales de 23.625,4 milliards et de dépenses publiques de 24.897,6 milliards.
Dépenses publiques : une gestion sous pression
Les dépenses publiques mensuelles de l’État se sont élevées à 2.822,9 milliards de CDF, soit 99,7 % de la programmation prévue. Les dépenses courantes, comprenant notamment les salaires des fonctionnaires (1.075 milliards de CDF), les frais de fonctionnement (797,9 milliards) et les subventions (338,1 milliards), ont représenté l’essentiel des décaissements, dépassant les prévisions de 15,3 %.
En revanche, les dépenses en capital restent faibles, s’établissant à 99,5 milliards de CDF, soit 23,7 % des prévisions mensuelles fixées à 420,2 milliards.
Perspectives et défis pour le ministre des Finances
Avec un taux de réalisation déjà supérieur aux prévisions initiales, le ministre Doudou Fwamba se concentre désormais sur l’atteinte des objectifs de la loi de finances rectificative. Les recettes internes attendues pour 2024 s’élèvent à 25.189,3 milliards de CDF, selon le cadrage du FMI, et à 27.195,6 milliards de CDF, selon la loi rectificative.
Delphin Kankolongo
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Conférence des « Femmes d’Exception du Congo » : Félix Tshisekedi Appelle à l’Inclusion des Femmes dans les Instances Décisionnelles et à l’Éradication des Violences Sexuelles
Ce mardi, au Fleuve Congo Hôtel à Kinshasa, le Président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a pris part à la première conférence organisée par l’association « Femmes d’exception du Congo » (FDEC), sur le thème de la « Gouvernance inclusive ». Cet événement a rassemblé des personnalités de premier plan, soulignant l’importance croissante de l’implication des femmes dans les processus décisionnels.
La présidente de l’association, Mme Lydie Omanga, a ouvert la conférence en présentant brièvement l’historique de la FDEC et en mettant en lumière l’engagement du Chef de l’État pour la promotion de la femme. Elle a salué la cohérence du Président Tshisekedi, qui selon elle, incarne le leadership en disant ce qu’il fait et en faisant ce qu’il dit. Mme Omanga a également souligné que l’exclusivité était un frein à l’évolution, appelant à une plus grande inclusion des femmes dans les sphères décisionnelles.
Lors de son intervention, le Président Tshisekedi a réaffirmé son engagement en tant que Champion de la masculinité positive et a souligné que la lutte contre les violences faites aux femmes constitue l’une de ses priorités nationales. Il a ajouté que pour qu’une société atteigne son plein potentiel, il est impératif d’assurer une participation égale des hommes et des femmes, affirmant qu’aucune société ne peut prospérer si elle marginalise la moitié de sa population.
L’événement a également été marqué par la présence de la Première vice-présidente du Sénat de la Côte d’Ivoire, invitée d’honneur de la conférence, qui a partagé ses expériences sur l’intégration des femmes dans la gouvernance.
Delphin Kankolongo
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Nord-Kivu : Les FARDC démentent la prise de Hutwe par le M23 et réaffirment leur contrôle
Des informations erronées circulant sur les réseaux sociaux et relayées par certains médias ont affirmé que la cité de Hutwe, située au sud du territoire de Lubero, était tombée sous le contrôle des rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Cependant, après vérification, nos sources croisées confirment que ces allégations sont infondées.
Ce mardi 3 décembre, trois jeeps des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) sont arrivées à Charamba, un quartier de Hutwe, aux alentours de 11 heures. Cette présence militaire a été exploitée par l’armée numérique du M23, qui a diffusé de fausses informations prétendant que la localité était sous leur contrôle.
Selon des sources militaires fiables, les rebelles du M23, en déroute après les lourdes pertes subies lors des affrontements du lundi 2 décembre, tentent difficilement de se réorganiser. Hutwe reste donc sous le contrôle des FARDC, malgré les rumeurs visant à semer la confusion dans la région.
La situation sur le terrain demeure tendue, mais les forces loyalistes assurent leur vigilance pour contrer toute tentative d’incursion des rebelles.
Delphin Kankolongo
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Kinshasa : Match de Gala des Anciens Léopards et de la VCF au Stade des Martyrs pour Soutenir les Victimes des Conflits dans l’Est du Pays
Un événement sportif d’exception aura lieu ce mardi à 17h00 (16h00 GMT) au Stade des Martyrs de Kinshasa, où les anciennes gloires des Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC) affronteront le Variété Club de France (VCF) lors d’un match de gala. L’objectif principal de cette rencontre est de soutenir les victimes des conflits armés qui secouent l’est du pays.
Sous le patronage du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, ce match symbolise la solidarité nationale et internationale envers les populations affectées par les violences dans la région. La rencontre se tiendra en présence de nombreuses personnalités, témoignant de l’importance de l’événement, à la fois sportif et humanitaire.
Organisé par la Présidence de la République, cet événement offre une occasion unique de mobiliser des fonds et de sensibiliser l’opinion publique aux souffrances des victimes des conflits dans l’est de la RDC, tout en célébrant l’héritage footballistique de la nation à travers la participation des anciennes stars du football congolais.
Delphin Kankolongo
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RDC-Tunisie : Roger Kamba et Mahrez Al-Farsh Échangent sur le Renforcement des Infrastructures Sanitaires et la Coopération Médicale
Kinshasa, le 3 décembre 2024 – Le Ministre de la Santé publique, Roger Kamba, a accueilli S.E.M. Mahrez Al-Farsh, Ambassadeur de Tunisie en République Démocratique du Congo, lors d’une réunion marquée par un esprit de collaboration et d’ouverture.
Cette rencontre a permis d’aborder des sujets stratégiques visant à renforcer les relations bilatérales dans le domaine de la santé. Les discussions se sont concentrées sur deux axes principaux : l’amélioration des infrastructures sanitaires et l’élaboration de solutions innovantes pour faire face aux défis communs auxquels les deux pays sont confrontés dans leurs systèmes de santé respectifs.
Roger Kamba a souligné l’importance de cette coopération dans le cadre des efforts du gouvernement pour moderniser le système de santé congolais et offrir des services de qualité à la population.
De son côté, l’Ambassadeur Mahrez Al-Farsh a exprimé la volonté de son pays de partager son expérience en matière de santé publique, notamment dans des domaines tels que la gestion hospitalière, la télémédecine et la formation des professionnels de la santé.
Cette initiative s’inscrit dans une vision plus large de renforcement des liens entre la RDC et la Tunisie, mettant en avant la santé comme un pilier clé du développement durable. Les deux parties ont convenu de poursuivre ces échanges en vue de formaliser des accords concrets dans un avenir proche.
Delphin Kankolongo
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« L’Église doit être véritablement au milieu du village pour renforcer l’unité des Congolais » (Félix Tshisekedi)
Lors de sa visite à Isiro ce lundi, à l’occasion du soixantième anniversaire du martyre de la Bienheureuse Anoalite, le Président de la République, Félix Tshisekedi, a livré un discours puissant, appelant l’Église catholique à un engagement plus profond dans la mission de cohésion et d’unité nationale.
Le Chef de l’État, en l’absence de l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo, actuellement en mission à Rome pour le Conseil des Cardinaux (C9), a insisté sur la nécessité pour l’Église de « rester véritablement au milieu du village » et d’accomplir sa mission prophétique de manière plus active.
Dans son allocution, Tshisekedi a demandé aux évêques catholiques de la RDC de maintenir un rôle de proximité avec les communautés, soulignant l’importance de leur voix dans le contexte actuel de tensions politiques et sociales.
Insistant sur le rôle pacifique et unificateur de l’institution. Il a exhorté les jeunes à ne pas se laisser influencer par les « chants des sirènes » qui pourraient les conduire vers l’asservissement et la division.
En parallèle, Félix Tshisekedi a annoncé un soutien important du gouvernement à l’Église catholique, notamment pour la construction d’une basilique à Isiro, une initiative comparable à celle en cours à Bokote, dans la province de l’Équateur, en l’honneur de la figure emblématique Isidore Bakandja. Ce geste, selon le président, témoigne de l’engagement de l’État envers l’Église et son rôle central dans la société congolaise.
Delphin Kankolongo
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« Le président Tshisekedi n’a aucun rôle dans la désignation du porte-parole de l’opposition » (Christian Mwando)
Dans une interview accordée à TOP CONGO FM, Christian Mwando Nsimba, élu du territoire de Moba et ancien ministre du Plan, a réagi fermement aux accusations qui le lient à des manœuvres visant à déstabiliser l’opposition en vue de sa nomination en tant que porte-parole de celle-ci. Selon lui, la désignation du porte-parole de l’opposition doit être un processus interne à celle-ci et ne doit en aucun cas être influencé par le président Félix Tshisekedi ou la majorité gouvernementale.
« La désignation du porte-parole de l’opposition incombe uniquement à l’opposition, pas au président Tshisekedi », a insisté Christian Mwando, soulignant que l’ensemble des parlementaires de l’opposition doit être impliqué dans ce processus.
Il a précisé qu’en sa qualité de président du groupe parlementaire Ensemble pour la République, il avait entrepris des démarches auprès des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat pour réunir les députés et sénateurs de l’opposition. L’objectif, selon Mwando, est de valider un règlement intérieur et d’élire un porte-parole légitimement choisi par ses pairs.
Réagissant aux rumeurs selon lesquelles il négocierait avec le pouvoir en place pour obtenir cette fonction et en profiterait pour déstabiliser l’opposition, Mwando a fermement démenti ces allégations.
Il a ajouté que son initiative était purement interne à l’opposition et visait à organiser celle-ci de manière efficace face aux enjeux politiques du pays.
Mwando a également pris soin de rappeler son engagement en tant qu’homme d’État, précisant que sa démission du gouvernement Sama Lukonde n’avait été dictée par aucune pression extérieure.
Delphin Kankolongo
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« La Constitution actuelle a été promulguée par un président non légitime (Joseph Kabila) et sans mandat populaire », affirme Blanchard Mongomba, SG de Nouvel Élan
Blanchard Mongomba, secrétaire général du parti politique Nouvel Élan, dirigé par l’opposant Adolphe Muzito, a remis en question la légitimité de la Constitution de 2006, lors de son passage au magazine « TOP 7 » sur TopCongo FM, animé par Miriam Boketshu.
Une Constitution contestée
Adoptée par référendum en 2005 et promulguée en 2006, la Constitution congolaise est souvent décrite comme ayant permis une transition politique cruciale après une décennie de conflits armés. Cependant, Blanchard Mongomba estime que ce texte, qui organise encore aujourd’hui la vie institutionnelle du pays, n’a pas été conçu par des représentants légitimes du peuple congolais.
En remettant en cause la légitimité de Joseph Kabila, président en fonction à l’époque de la promulgation, Mongomba soulève une question sensible dans le débat politique national : l’origine des institutions et leur acceptabilité populaire.
Une position alignée avec celle de Nouvel Élan
Cette sortie médiatique s’inscrit dans la ligne idéologique de Nouvel Élan, parti politique fondé par Adolphe Muzito, ancien Premier ministre et figure de l’opposition. Ce parti milite notamment pour des réformes institutionnelles profondes, estimant que les cadres actuels ne répondent pas aux aspirations du peuple congolais.
Un débat toujours d’actualité
La critique de la Constitution de 2006 intervient dans un contexte où plusieurs acteurs politiques, y compris au sein de la majorité au pouvoir, appellent à une révision ou à une réforme constitutionnelle. Ces propositions suscitent toutefois des controverses, notamment en raison des risques d’instabilité qu’elles pourraient entraîner à l’approche des prochaines élections générales.
Delphin Kankolongo
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Lubero : Des bombardements du M23 sur le village d’Alimbongo causent quatre blessés civils, dont deux enfants, selon des sources locales
Les affrontements se poursuivent ce matin à Lubero, dans le Nord-Kivu, où les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) déclarent avoir « fixé » l’ennemi, le groupe rebelle M23, qui tente de déborder certaines lignes de front. Selon le lieutenant Reagan Mbuyi, porte-parole de l’armée sur le front nord,
Cependant, cette stabilité apparente est mise à mal par les attaques aériennes du M23. Ce groupe rebelle a largué deux bombes qui sont tombées à 7 kilomètres de l’hôpital de référence d’Alimbongo, sans causer de dégâts. Néanmoins, la situation reste préoccupante à Alimbongo, où des bombardements du M23 ont déjà blessé quatre civils, dont deux enfants. Ces frappes ont provoqué une forte inquiétude parmi la population locale.
Les FARDC, soutenues par des résistants wazalendo, continuent de repousser les assauts du M23, mais la région de Lubero demeure sous une forte pression, avec des combats de plus en plus violents. La situation reste volatile, et la population vit dans l’angoisse face à l’intensification des attaques.
Delphin Kankolongo
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Sénat : Le Ministre du Budget, Aimé Boji Sangara, Soumet Ce Mardi le Projet de Loi de Finances 2025, d’un Montant de 49.847 Milliards FC
Kinshasa, 2 décembre 2024 – Le ministre d’État en charge du Budget, Aimé Boji Sangara, est attendu ce mardi au Sénat de la République Démocratique du Congo pour participer au débat général sur le projet de loi de finances de l’exercice 2025. L’information a été rapportée lundi dans un communiqué de la chambre haute du Parlement, signé par la Rapporteure Néfertiti Ngudianza.
Le projet de loi de finances pour l’année 2025, soumis à l’examen des sénateurs, prévoit un budget équilibré en recettes et en dépenses, estimé à 49.847 milliards de Francs Congolais (FC). Ce montant marque une augmentation notable de 21,6 % par rapport au budget de l’exercice 2024, illustrant ainsi un taux d’accroissement significatif des prévisions budgétaires.
Ce débat, qui se déroule dans un contexte économique complexe, est d’une grande importance pour la gestion des finances publiques du pays et la mise en œuvre des priorités gouvernementales pour l’année à venir. Le ministre Boji Sangara devrait détailler les grandes orientations de ce budget, qui reflètent les priorités économiques et sociales du gouvernement.
Delphin Kankolongo
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