Le Congo franchit aujourd’hui un jalon important dans la lutte contre le diabète, grâce à l’initiative audacieuse du Dr Samuel Kamba, architecte de la couverture santé universelle, et sous le leadership du président Félix Antoine Tshisekedi. 300 000 kits de surveillance du diabète ont été livrés dans le cadre du programme national de lutte contre cette maladie, marquant ainsi une avancée majeure dans le combat pour la santé publique.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du renforcement de la couverture santé universelle, un engagement stratégique visant à réduire les taux de mortalité parmi les personnes diabétiques et à alléger les souffrances d’une population longtemps négligée. La fourniture de ces kits de surveillance représente un outil crucial pour améliorer la qualité de vie des malades, tout en consolidant le système de santé du pays.

Au-delà de la lutte contre le diabète, ce programme a également un impact significatif sur la santé maternelle. Dans le cadre de la gratuité des soins de maternité, ces kits de surveillance permettent un meilleur contrôle des niveaux de glycémie chez les femmes enceintes, tout en facilitant l’identification précoce du diabète gestationnel. Ces mesures cruciales contribuent non seulement à sauver des vies, mais aussi à poser les bases d’un avenir plus sain pour les générations futures.

Delphin Kankolongo

Kinshasa, 15 novembre 2024 – Le ministre de la Santé, Hygiène et Prévention, Roger Kamba, a pris part à un forum consacré à l’élimination du cancer du col de l’utérus en République Démocratique du Congo (RDC). Cet événement marque une étape clé dans la lutte contre cette maladie qui représente un défi majeur pour le système de santé congolais.

Lors de ce forum, Roger Kamba a annoncé la signature d’une nouvelle Stratégie de Coopération entre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la RDC. Selon lui, cette stratégie incarne un jalon important dans l’amélioration des soins de santé pour tous les citoyens. Elle s’inscrit dans le cadre des objectifs ambitieux de la Couverture Santé Universelle que le gouvernement s’efforce d’atteindre.

Le ministre a profité de cette occasion pour saluer l’implication des partenaires techniques et financiers, dont l’appui constant contribue au renforcement du système de santé congolais.

Ce forum a permis de rappeler les efforts en cours pour prévenir, diagnostiquer et traiter le cancer du col de l’utérus, une maladie qui affecte gravement les femmes en RDC. Parmi les mesures phares figurent l’intensification des campagnes de vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) et le dépistage précoce.

Delphin Kankolongo

Dans le cadre de sa tournée d’évaluation des structures sanitaires, le Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale, Dr Samuel Roger Kamba, a visité le Centre Médical Nganda, une institution spécialisée dans le traitement des maladies cancéreuses. Cette visite s’inscrit dans un processus de suivi et d’amélioration continue des services de santé à travers le pays.

Lors de cette visite, le Dr Kamba a échangé avec les professionnels de santé sur les défis auxquels ils sont confrontés dans la prise en charge des patients, notamment dans le domaine du cancer, une pathologie qui nécessite des infrastructures et des équipements de haute qualité. Le Centre Nganda a présenté ses méthodes innovantes de dépistage, de diagnostic et de traitement, montrant ainsi son engagement à fournir des soins spécialisés aux Congolais.

Le Ministre a souligné l’importance de la collaboration entre le secteur privé et le secteur public pour renforcer le système de santé et améliorer l’accès des citoyens aux soins de qualité. Selon lui, une telle coopération est essentielle pour garantir des services de santé plus accessibles, notamment pour les populations vulnérables confrontées à des maladies graves comme le cancer.

Delphin Kankolongo

Le lundi 11 novembre 2024, le ministre de la Santé publique, Roger Kamba, a pris part à la cérémonie d’ouverture des travaux de la revue des activités de l’Inspection Générale de la Santé (IGES), un événement crucial pour l’avenir du secteur de la santé en République Démocratique du Congo. Placé sous le thème « L’inspection en santé à l’ère de la couverture santé universelle », cet événement visait à évaluer les progrès réalisés et à définir les axes d’amélioration pour garantir un système de santé plus performant.

Lors de son discours, le ministre Kamba a réaffirmé son engagement à fournir les ressources nécessaires pour permettre à l’IGES d’accomplir sa mission avec efficacité. Il a souligné que la bonne gouvernance dans le secteur de la santé commence par une amélioration substantielle du système d’inspection.

Selon lui, l’IGES joue un rôle clé dans la surveillance et l’évaluation des services de santé, assurant ainsi que les normes de qualité sont respectées et que les ressources sont utilisées de manière optimale.

Roger Kamba a également mis en lumière l’importance de la couverture santé universelle, précisant qu’il ne s’agissait pas uniquement d’une question de bien-être social.

Selon lui, cette couverture représente également un levier fondamental pour le développement économique du pays. Un système de santé solide et accessible à tous peut stimuler l’industrie, créer des emplois et favoriser l’innovation, contribuant ainsi à la croissance économique et au progrès social.

Delphin Kankolongo

Kinshasa, 31 octobre 2024 – Un pas significatif dans la lutte contre le paludisme a été franchi ce jeudi, avec la cérémonie marquant le début de l’intégration du vaccin R21/Matrix dans le Programme National de Vaccination de la République Démocratique du Congo (RDC). Cet événement a été souligné par le directeur de cabinet du ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévoyance sociale, Dr Muboyayi Tshikaya Romain, qui a mis en exergue l’importance de cette avancée pour un pays qui figure parmi les plus touchés par le paludisme au monde.

Le paludisme reste une menace grave en RDC, avec plus de 1,1 million de cas graves et plus de 24 880 décès chaque année, dont 68 % concernent des enfants de moins de cinq ans. La mise en place du vaccin R21/Matrix est perçue comme une mesure cruciale pour inverser cette tendance tragique. Grâce à l’appui de partenaires techniques et financiers, la RDC a mobilisé près de 9,5 millions de doses de ce vaccin pour la période 2024-2025.

La vaccination, qui a débuté symboliquement avec un nourrisson de 9 mois, Isaac, représente un espoir tangible pour un avenir plus sûr pour les enfants congolais et leurs familles. L’intégration de ce vaccin dans le calendrier de vaccination routinier est un élément clé de la stratégie nationale pour réduire la mortalité liée au paludisme et protéger les populations vulnérables, notamment les jeunes enfants.

Delphin Kankolongo

Kinshasa, 29 octobre 2024 – Le Ministre de la Santé Publique, de l’Hygiène et de la Prévoyance Sociale, Dr. Samuel Roger Kamba, a participé ce mardi à une conférence de sensibilisation sur le cancer du sein, organisée à l’intention des avocates à Kinshasa. L’objectif de cet événement était de promouvoir la prise de conscience et de renforcer l’engagement collectif pour lutter contre cette maladie qui touche de nombreuses femmes à travers le pays.

Sensibilisation et prévention au cœur du message

Dans son intervention, le Dr. Kamba a insisté sur trois axes stratégiques pour une lutte efficace contre le cancer du sein :

1. L’autopalpation : Il a rappelé l’importance de cette méthode simple mais essentielle pour un dépistage précoce. « Le dépistage sauve des vies. Il n’y a pas de fatalité au cancer. Il ne faut pas hésiter à chercher une solution dès le moindre soupçon », a-t-il affirmé, en partageant des témoignages de patientes ayant guéri grâce à une détection précoce.
2. Prise en charge post-opératoire : Le Ministre a souligné la nécessité d’un suivi médical complet et adapté pour les patientes après une intervention chirurgicale, afin d’améliorer leur qualité de vie.
3. Accès universel aux soins : Réitérant que le droit à la santé est fondamental, le Dr. Kamba a déclaré : « Le droit à la santé ne doit pas dépendre des moyens dont on dispose, sinon c’est un privilège. »

Une réponse aux défis liés aux maladies non transmissibles

Le Ministre a attiré l’attention sur l’évolution de l’épidémiologie en RDC, marquée par une augmentation des maladies non transmissibles telles que le cancer.

Il a également évoqué le rôle crucial du fonds de solidarité mis en place par le gouvernement pour améliorer l’accessibilité aux soins et développer l’offre de santé, en accord avec la vision du Président Félix Antoine Tshisekedi.

Vers l’intégration du cancer dans la couverture santé universelle

Le Dr. Kamba a réaffirmé l’engagement de son ministère à inclure le cancer dans la politique de couverture santé universelle, en assurant que toutes les femmes, sans distinction, puissent accéder aux soins nécessaires.

Delphin Kankolongo

Dans le cadre de la clôture du mois d’août, le Ministère de la Santé publique, Hygiène et Prévoyance sociale a organisé une marche de soutien aux personnes touchées par le cancer du sein. Cet événement, présidé par le Dr Samuel Roger Kamba, Ministre de la Santé, visait à sensibiliser la population à cette maladie et à encourager le dépistage précoce.

La marche a vu la participation de personnalités de haut niveau, dont la Première ministre Judith Suminwa Tuluka et Mme Marie-Thérèse Sombode. Ensemble, ils ont réaffirmé l’engagement du gouvernement dans la lutte contre le cancer, une maladie qui demeure un défi de santé publique en RDC.

Engagement du Gouvernement : Trois Axes Stratégiques Définis

Lors de cette manifestation, le Dr Samuel Roger Kamba a mis en avant trois axes principaux pour intensifier la lutte contre le cancer :

1. Sensibilisation accrue de la population : Le ministre a insisté sur l’importance de la prise de conscience collective. Il a souligné que le gouvernement s’efforce non seulement de promouvoir le dépistage précoce, mais aussi d’encourager une surveillance régulière et un diagnostic rapide. « Chaque Congolaise et Congolais doit savoir que le cancer n’est pas une fatalité si la détection est faite à temps », a-t-il affirmé.
2. Renforcement des structures de prise en charge : Le Dr Kamba a annoncé que la construction d’un centre spécialisé pour le traitement du cancer est déjà en cours, grâce à une collaboration avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Ce centre ambitionne de répondre aux besoins croissants des patients, en offrant des traitements de qualité adaptés à la réalité locale.
3. Mise en œuvre d’innovations technologiques : Le ministre a également dévoilé que l’intelligence artificielle sera intégrée au processus de diagnostic du cancer, facilitant ainsi une détection plus rapide et plus précise. Cette approche innovante représente une avancée significative, soulignant la volonté du ministère d’adopter des solutions modernes pour améliorer la prise en charge des patients.

Delphin Kankolongo

Kinshasa, 13 octobre 2024 – Dans le cadre de sa tournée d’évaluation des infrastructures dédiées à la prise en charge de la MPOX (anciennement variole du singe), le ministre de la Santé, Roger Kamba, s’est rendu ce jour à l’hôpital Cinquantenaire, situé dans la commune de Masina. Cette visite intervient alors que plusieurs patients avaient récemment dénoncé leurs conditions d’hébergement qualifiées d’inhumaines.

Lors de son passage, le ministre a rencontré les malades, qui ont exprimé plusieurs préoccupations, notamment l’absence de climatisation et une insuffisance notable de nourriture. Face à ces doléances, Roger Kamba s’est engagé à intervenir rapidement :

“Je vais m’assurer que ces problèmes soient résolus afin d’améliorer les conditions de prise en charge.”

Le ministre a également donné des instructions claires pour l’achèvement des travaux en cours à l’hôpital afin que les patients puissent bénéficier de soins dans un environnement plus salubre.

En parallèle, Roger Kamba a salué l’engagement du personnel soignant, qui continue d’assurer les soins malgré les défis quotidiens.

Cette intervention ministérielle intervient dans un contexte tendu, alors que des patients du quartier Masina 3 avaient récemment dénoncé leurs conditions de vie. Une vidéo devenue virale montrait l’absence de toilettes fonctionnelles et de soins appropriés. Il avait également été signalé que des hommes et des femmes étaient hébergés dans les mêmes locaux, soulevant des préoccupations supplémentaires en matière de dignité et de respect.

Delphin Kankolongo

Kinshasa, 9 octobre 2024 — Ce mercredi, le Dr. Roger Kamba, Ministre de la Santé Publique, Hygiène et Prévoyance Sociale, a procédé à la remise officielle d’un centre de simulation au Centre Hospitalier Universitaire Renaissance. Accompagné du représentant de l’UNICEF, il a également annoncé des dons significatifs en médicaments et équipements biomédicaux destinés à la lutte contre la MPOX.

Lors de cet événement, le Ministre a souligné l’engagement du gouvernement à garantir des soins gratuits pour tous les patients atteints de la MPOX. « Les patients bénéficient de soins totalement gratuits« , a-t-il affirmé, mettant en lumière la volonté des autorités de rendre les soins accessibles à tous, surtout dans un contexte de crise sanitaire.

Les dons incluent un total de plus de 900 tonnes de matériel et visent à renforcer la réponse du système de santé face à diverses épidémies, notamment la MPOX, les méningites et le choléra. De plus, la prise en charge de la malnutrition aiguë sévère fait également partie des priorités dans cette initiative.

Delphin Kankolongo

Le gouvernement provincial du Sud-Kivu a lancé un appel urgent à la vigilance et au respect strict des mesures d’hygiène après la confirmation d’au moins 12 décès dus au virus Marburg au Rwanda, voisin de la République démocratique du Congo (RDC). Le Sud-Kivu, frontalier avec le Rwanda, pourrait être exposé à une propagation de cette fièvre hémorragique semblable au virus Ebola.

Dans une déclaration faite dimanche, Théophile Muzaliwa, ministre provincial en charge de la Santé, a exhorté la population à renforcer les mesures d’hygiène, notamment aux points de passage frontaliers avec le Rwanda.

Le virus de Marburg, qui se transmet par contact direct avec les fluides corporels d’une personne infectée ou des surfaces contaminées, est extrêmement dangereux avec un taux de mortalité pouvant atteindre 88 %. Bien que le Rwanda ait déjà entamé une campagne de vaccination ciblant les professionnels de la santé et les proches des cas confirmés, la situation reste préoccupante, en particulier pour les régions limitrophes comme le Sud-Kivu.

De plus, hier, le Dr Bachir Mbodj, coordonnateur des incidents de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la riposte contre le virus Mpox en RDC, a visité l’Institut National de Recherche Biomédicale (IRNB) de Goma. Cette visite avait pour objectif de renforcer les capacités du laboratoire face à l’épidémie de Mpox en RDC, mais aussi à la menace croissante du virus Marburg venant du Rwanda.

Delphin Kankolongo