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Éruption de Violences au Nord de Goma : Tensions Croissantes et Appels à la Stabilité en RDC
Le mardi 20 février, la région de Nyiragongo au nord de Goma, en République démocratique du Congo (RDC), a été le théâtre de violents affrontements. Aux alentours de 17h30, les positions stratégiques de Kanyamahoro et Kanyabuki, près de la frontière avec le Rwanda, ainsi que Kibumba, ont été la cible d’attaques simultanées perpétrées par le groupe M23_RDF, selon des sources locales.
Les échos des détonations résonnaient dans la région jusqu’à 19h30, laissant les habitants dans un état de consternation et d’inquiétude. La jeunesse de la région a été particulièrement sensible à ces événements, témoignant de l’impact des affrontements sur la vie quotidienne des communautés locales.
Outre les attaques à Nyiragongo, d’autres zones ont également été touchées par la violence. Des affrontements ont été signalés à Bweremana, situé dans le territoire de Masisi, ajoutant une dimension préoccupante à la situation déjà tendue dans la région.
Ces développements soulignent la fragilité de la sécurité dans cette partie de la RDC et suscitent des préoccupations quant à la stabilité régionale. Les attaques simultanées et les affrontements à différents endroits témoignent de la complexité des défis sécuritaires auxquels la région est confrontée.
Perfection243.net
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Justice : La Cour Militaire de Kinshasa/Gombe se déclare incompétente pour juger Salomon Kalonda en raison de ses immunités parlementaires
La Cour militaire de Kinshasa a décidé de décliner sa compétence pour juger Salomon Idi Kalonda, sénateur et bras droit de Moïse Katumbi, suite à une requête de sa défense. Me Hervé Diakiese, porte-parole du parti Ensemble pour la République, a expliqué sur TOP CONGO FM que cette décision est due à la qualité de sénateur de Kalonda, qui lui confère des immunités par la loi congolaise.
Kalonda, arrêté en mai 2023 pour diverses accusations incluant la détention illégale d’armes à feu et des liens présumés avec des officiers rwandais et la rébellion du M23, a vu ses demandes de liberté provisoire rejetées à plusieurs reprises avant d’être finalement libéré en mars 2024.
Élu député provincial et ensuite sénateur pendant son incarcération, il est désormais protégé contre les poursuites judiciaires en raison de ses privilèges parlementaires. Me Diakiese a souligné que malgré ces développements juridiques, Kalonda estime avoir toujours été innocent et reste engagé à servir son pays dans ses fonctions parlementaires.
Delphin Kankolongo
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Zénon Mukongoy au Conseil de Sécurité de l’ONU : « Nous demandons au Rwanda de rentrer chez lui pour que nous puissions discuter car tant qu’il sera sur le sol congolais la discussion sera difficile »
Lors de son intervention au Conseil de sécurité de l’ONU, Zénon Mukongoy, représentant de la République Démocratique du Congo, a exprimé sa satisfaction quant à l’achèvement de la première phase du retrait de la MONUSCO du Sud-Kivu, soulignant la collaboration fructueuse entre le gouvernement congolais et la mission de maintien de la paix.
Cependant, il a souligné que les phases suivantes concernant le Nord-Kivu et l’Ituri demeurent cruciales pour la stabilité régionale. Mukongoy a appelé à une prise de conscience urgente du Conseil de sécurité face à la crise humanitaire dévastatrice en RDC, où plus de 7 millions de personnes sont déplacées. Il a insisté sur la nécessité pour la communauté internationale d’intervenir de manière décisive.
Le représentant congolais a également critiqué fermement la présence des troupes rwandaises sur le sol congolais, qualifiant cela de violation flagrante de la charte des Nations Unies et des principes de l’Union Africaine. Il a exigé du Conseil de sécurité qu’il impose des sanctions contre le Rwanda et toute personne impliquée dans cette agression, tout en appelant au retrait immédiat et inconditionnel des forces rwandaises sous peine de sanctions sévères.
Mukongoy a déploré l’inaction du Conseil de sécurité après les précédentes demandes de retrait des troupes rwandaises, soulignant que les récents bombardements de camps de déplacés à Nzale et Mugunga par les troupes rwandaises exacerbent une situation déjà critique.
Delphin Kankolongo
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Présence de 4000 Soldats Rwandais en RDC : Préoccupation Majeure Soulevée par les États-Unis au Conseil de Sécurité de l’ONU
Lors du conseil de sécurité de l’ONU, Bintou Keita a exprimé de vives inquiétudes concernant la situation en République Démocratique du Congo (RDC), déplorant la rapide progression du M23. Selon ses déclarations, le groupe rebelle a récemment pris le contrôle de plusieurs localités stratégiques et incendié des bases des Forces Armées de la RDC (FARDC), intensifiant ainsi les tensions dans la région.
Keita a également accusé le gouvernement du Rwanda de renforcer son soutien au M23, alimentant ainsi le risque d’un conflit régional. Cette escalade a atteint le Sud-Kivu, avec le M23 avançant jusqu’au territoire de Kalehe, augmentant les préoccupations quant à une crise humanitaire imminente.
Face à cette situation, la France a clairement exprimé sa position lors du conseil de sécurité. Elle appelle à la reprise du dialogue dans le cadre du processus de Luanda, tout en condamnant les pressions exercées par le M23 sur la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO) pour prendre le contrôle de certaines zones.
De plus, la France a vigoureusement dénoncé la violation de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la RDC, tout en exigeant que les agissements du Rwanda sur le territoire congolais cessent immédiatement. Elle a également appelé la RDC à mettre fin aux hostilités entre les FARDC et les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR).
Les États-Unis ont quant à eux rapporté la présence de jusqu’à 4000 soldats rwandais en RDC, soulignant une implication directe et significative du Rwanda dans le conflit. Cette présence militaire croissante soulève de graves préoccupations quant à la stabilité régionale et à la nécessité urgente d’une résolution pacifique de la crise.
Delphin Kankolongo
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25ème Session de l’Union Africaine des Télécommunications : Ouverture à Kinshasa par SEM Judith Suminwa Tuluka
08 juillet 2024 | Kinshasa – La 25ème session du Conseil d’Administration de l’Union Africaine des Télécommunications (UAT) a été officiellement ouverte à Kinshasa par Son Excellence Madame Judith Suminwa Tuluka, en présence du Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique.
Cet événement stratégique revêt une importance capitale pour l’Afrique en général et pour la République Démocratique du Congo (RDC) en particulier, visant à renforcer les infrastructures numériques et à promouvoir la coopération régionale.
Lors de cette ouverture, la Première ministre Judith Suminwa a souligné l’importance de cette rencontre pour la RDC.
La RDC a également réaffirmé son engagement pour le rapatriement du siège de l’UAT à Kinshasa, un geste symbolique de son leadership en matière de télécommunications en Afrique. La session promet d’être un catalyseur pour le développement numérique du continent, en s’appuyant sur des discussions et des décisions cruciales pour l’avenir des télécommunications africaines.
Delphin Kankolongo
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Augustin Kabuya : « D’après les discours qu’ils tiennent, il est dit que c’est le dernier mandat, le peuple ne se retrouve pas. Il s’agit d’un mensonge »
Kinshasa, RDC – Lors d’un discours prononcé à Camp Luka, l’Honorable Augustin Kabuya, Secrétaire Général de l’UDPS et Coordonnateur de la Majorité Parlementaire, a vivement critiqué les déclarations affirmant que le mandat actuel du Président Félix-Antoine Tshisekedi serait le dernier. Il a qualifié ces propos de « mensonge » et a souligné que « le peuple ne se retrouve pas » dans de telles affirmations.
Kabuya, s’adressant à une foule attentive, a réitéré son soutien indéfectible au Président Tshisekedi, considérant Camp Luka comme le véritable bastion du Chef de l’État.
Suscitant des acclamations parmi les habitants présents.
En outre, Kabuya a relayé un message crucial du Président Tshisekedi, appelant la population à se détourner des distractions politiques et à se concentrer sur des enjeux plus pressants.
Mettant en lumière les préoccupations sécuritaires et humanitaires qui affligent l’Est du pays.
Delphin Kankolongo
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Francine Muyumba déclare : « Tant que le PPRD croit au retour impossible de Joseph Kabila au pouvoir, le parti n’ira nulle part. »
Lors d’un débat télévisé sur TopCongo FM, la sénatrice Francine Muyumba a vivement critiqué le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) en déclarant : « Aussi longtemps que le PPRD pense au retour impossible de Joseph Kabila au pouvoir, le parti n’ira nulle part. » Elle souligne l’importance pour le parti de se concentrer sur des objectifs réalistes pour avancer.
Dialogue avec le M23
En tant que diplomate, Muyumba a suggéré au gouvernement de Kinshasa d’explorer une voie de dialogue avec le groupe rebelle M23. Elle estime qu’il n’est pas judicieux de mener une guerre en position de faiblesse, affirmant que le gouvernement de Joseph Kabila avait réussi à neutraliser militairement les rebelles du M23 avec un budget de 4 milliards de dollars, un exploit que le gouvernement actuel de Félix Tshisekedi n’a pas réussi à reproduire.
Changement de la Constitution
Sur la question du changement de la Constitution, Francine Muyumba rejette fermement toute idée de modification. Elle accuse l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) de ne jamais avoir respecté la Constitution depuis le début de leur mandat.
Critique de l’UDPS
Muyumba n’a pas manqué de critiquer l’UDPS sur sa gestion actuelle du pays, en soulignant les différences entre leur mandat et celui du Front Commun pour le Congo (FCC).
Delphin Kankolongo
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Crise dans l’Est de la RDC : Les Nations Unies alertent sur l’enrôlement forcé d’enfants et de réfugiés par le M23, soutenu par le Rwanda et l’Ouganda
Les Nations Unies ont exprimé leur profonde inquiétude concernant l’enrôlement forcé d’enfants âgés de 10 à 12 ans et de réfugiés dans la rébellion en République démocratique du Congo (RDC). Un récent rapport des experts onusiens mandatés par le Conseil de sécurité des Nations Unies met en cause le M23 et le Rwanda pour ces pratiques, particulièrement après l’offensive d’octobre 2023.
Recrutements forcés et implication régionale
Le rapport révèle que des enfants ont été recrutés de force dans les zones contrôlées par le M23 en RDC, ainsi que dans les camps de réfugiés au Rwanda (Mahama, Gisagara, Kizimba et Gihembe) et en Ouganda (Kyaka II et Nakivale). Ce rapport semestriel des experts offre un état des lieux des violences dans les provinces de l’Est de la RDC et met en lumière le rôle controversé de l’Ouganda, un acteur régional jusqu’ici moins pointé du doigt.
Soutien accru du Rwanda et de l’Ouganda
Les experts soulignent le soutien continu du Rwanda au M23, avec notamment l’entrée de 1 000 soldats rwandais en RDC en janvier 2024. Malgré les condamnations internationales, ce soutien n’a pas faibli. Le rapport accuse également l’Ouganda de faciliter le transit des troupes du M23 et de l’armée rwandaise sur son territoire. Des responsables du M23, comme Sultani Makenga et Corneille Nangaa, ont été signalés en Ouganda, où ils ont tenu des réunions avec des représentants de groupes armés congolais.
Delphin Kankolongo
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RDC : Préparation d’un nouveau programme économique triennal avec le FMI suite à la validation de la 6e revue économique
Après avoir conclu avec succès la sixième et dernière revue de son programme économique actuel en partenariat avec le Fonds Monétaire International (FMI), la République Démocratique du Congo (RDC) se prépare à entamer des discussions pour un nouveau programme triennal. Cette démarche est soutenue par la Facilité Élargie de Crédit (FEC) ainsi qu’un programme au titre du Fonds de Résilience et de Durabilité (RST), selon un communiqué du Ministère des Finances.
Le gouvernement dirigé par la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka s’est engagé à mettre en œuvre des réformes structurelles profondes pour dynamiser la croissance économique et améliorer les conditions de vie des Congolais. Le programme précédent, doté de 1,5 milliard de dollars, a principalement visé le renforcement budgétaire, l’augmentation des recettes, et l’amélioration de la gouvernance économique.
Les succès obtenus ont permis à la RDC de sécuriser un soutien financier significatif, avec des appuis à la balance des paiements totalisant 2,25 milliards de dollars, ainsi qu’un appui budgétaire supplémentaire de 1,5 milliard de dollars, co-financé par la Banque mondiale. Ces résultats marquent un tournant majeur pour le pays, signalant une confiance renouvelée des institutions financières internationales.
Delphin Kankolongo
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Godé Mpoy à l’UNIKIN : “les chiffres l’attestent, c’est Félix Tshisekedi qui est en tête, en tenant compte de la nouvelle théorie sur le leadership”
L’Université de Kinshasa (UNIKIN), sous la direction du Professeur Jean-Marie Kayembe, a accueilli ce samedi une conférence-débat à la faculté des sciences économiques, axée sur la gestion économique de la RDC 64 ans après son indépendance. Le sous-thème de l’économie congolaise de 1960 à aujourd’hui a été exploré par le Professeur Godé Mpoy, député national et enseignant à l’UNIKIN, introduit par le Professeur Kabeya Tshikuku.
Dans son exposé, le Professeur Mpoy a souligné l’importance du rôle du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale dans la stabilisation économique des États, citant l’exemple de la Chine et de la Russie jusqu’en 2000. Il s’est interrogé sur les raisons pour lesquelles la misère persiste en RDC malgré l’assistance de ces institutions financières.
Mpoy a identifié l’explosion des dépenses sécuritaires, atteignant plus de 700 millions de dollars, et les engagements financiers importants tels que la gratuité de l’enseignement et le programme des 145 Territoires, comme des facteurs limitant les ressources disponibles pour d’autres besoins.
Cependant, il a également mis en avant les progrès économiques récents, tels que l’intégration de la RDC dans le top 10 des meilleures économies africaines et la réussite d’un programme avec le FMI, reflétant une amélioration significative de la gestion économique du pays.
Se basant sur des indicateurs empiriques, Mpoy a affirmé que le leadership de Félix Tshisekedi se distingue parmi les dirigeants successifs du pays. Il a classé les présidents selon leur impact économique, plaçant Tshisekedi en tête, suivi de Joseph Kabila, Laurent-Désiré Kabila, Mobutu et Joseph Kasavubu.
Cette conférence a également servi de réponse aux critiques sur le manque de leadership en RDC, notamment celles formulées par Vital Kamerhe lors d’une précédente rencontre. Dans son discours d’ouverture, la ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, Marie-Thérèse Sombo, a salué le leadership fort de Tshisekedi.
Le panel de la conférence comprenait également le vice-premier ministre et ministre de l’Économie Daniel Mukoko Samba, le ministre du Commerce extérieur Julien Paluku Kahongya, le vice-gouverneur de la Banque centrale du Congo William Pambu Pambu, et le Professeur David Lubo.
Delphin Kankolongo
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RD Congo : Augustin Kabuya affirme, « Félix Tshisekedi n’est pas un dictateur. C’est le démocrate que la RDC n’a jamais connu. »
Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS-Tshisekedi, a réagi avec véhémence aux accusations de dictature et de tribalisme lancées par les opposants Moïse Katumbi et Martin Fayulu. Lors d’une intervention sur TOP CONGO FM, il a défendu le président Félix Tshisekedi en soulignant les efforts de ce dernier pour promouvoir l’unité et la démocratie en RDC.
Moïse Katumbi, ancien gouverneur de la province du Katanga et figure emblématique de l’opposition, a récemment critiqué le régime de Félix Tshisekedi, le qualifiant de dictatorial et tribaliste. Kabuya a réfuté ces accusations, affirmant que Tshisekedi a toujours œuvré pour l’inclusivité et la diversité dans les nominations gouvernementales. « Le Premier ministre n’est pas de la province du Chef de l’État, mais du Kongo Central. Le président de l’Assemblée nationale est du Sud-Kivu, » a-t-il rappelé.
Kabuya a également mis en avant le retour de Katumbi en RDC, facilité par Tshisekedi après des années d’exil sous le régime de Joseph Kabila. « Le président Félix Tshisekedi arrive au pouvoir, il revient au pays et lui donne un passeport. Est-ce qu’il connaît la définition du mot dictature ? » a-t-il ironisé, soulignant l’ironie des accusations de Katumbi.
En réponse à Martin Fayulu, qui avait demandé une réunion nationale pour la cohésion et la paix, Kabuya a insisté sur le fait que la RDC fait face à des menaces extérieures majeures, nécessitant un soutien unanime au président. « La RDC n’est pas en guerre contre le Rwanda seul, mais contre les forces extérieures plus puissantes même que le Rwanda,” a-t-il déclaré.
Kabuya a également abordé les cas de Jean-Marc Kabund et Mike Mukebayi, accusant ces derniers d’avoir abusé de leur liberté d’expression pour semer la division et la haine. Il a défendu les actions judiciaires contre eux comme nécessaires pour maintenir l’ordre et la démocratie.
Augustin Kabuya a fermement rejeté les critiques de Katumbi et Fayulu, les accusant de manquer de compréhension et d’intelligence dans leurs attaques contre Félix Tshisekedi. Il a exhorté à une reconnaissance des efforts du président pour maintenir la stabilité et le développement en RDC malgré les défis sécuritaires actuels.
Delphin Kankolongo
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