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Préparatifs diplomatiques à leur apogée : Félix Tshisekedi et Paul Kagame sur le point de se rencontrer
Luanda, Angola – Les tensions longtemps palpables entre la République Démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont trouvé un écho d’espoir avec l’émergence de pourparlers médités par l’Angola. Les yeux de l’Afrique se tournent vers cette capitale où les ministres des deux nations se sont rencontrés le jeudi 21 mars 2024, sous la médiation du vice-premier ministre et ministre des Affaires étrangères de la RDC, Christophe Lutundula, et du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Rwanda, Vincent Biruta.
Les discussions ont été centrées sur la sécurité dans l’est de la RDC, une zone troublée depuis longtemps par des groupes armés locaux et étrangers. L’objectif ultime reste la réunion des présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame. Les ministres, dans un communiqué officiel, ont exprimé un optimisme mesuré quant à la perspective d’une paix durable dans la région.
Cette initiative de médiation, soutenue internationalement, a notamment reçu l’encouragement du président français Emmanuel Macron, soulignant l’importance d’une résolution négociée du conflit.
Cependant, la route vers la paix reste semée d’obstacles. La résurgence du groupe rebelle M23, allégué être soutenu par Kigali, continue d’alimenter les tensions. Une partie du Nord-Kivu est sous leur contrôle, exigeant un dialogue direct avec Kinshasa, une option rejetée par l’administration Tshisekedi en faveur de pourparlers bilatéraux avec Kigali.
Delphin Kankolongo
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Nord-Kivu : Judith Suminwa Enquête sur l’Évolution de l’État de Siège à Goma et les Perspectives de Transition Vers une Administration Civile
Goma, 22 novembre 2024 – La Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a atterri ce vendredi à Goma, dans le Nord-Kivu, pour une mission stratégique visant à évaluer l’état de siège imposé dans les provinces de l’Est de la République Démocratique du Congo.
Cette visite, marquée par l’accueil du Gouverneur militaire et des forces vives locales, intervient dans un contexte de longue insécurité qui frappe cette région depuis des décennies.
Mandatée par le Président de la République, la Cheffe du Gouvernement a pour mission de réaliser un état des lieux des mesures transitoires mises en place, d’engager des discussions avec les acteurs locaux et de définir les actions nécessaires pour une transition vers une administration civile.
Ce déplacement s’inscrit dans une dynamique plus large de rétablissement de la paix et de la sécurité, avec un accent particulier sur la consolidation des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et la protection des populations civiles.
La Première Ministre devra notamment évaluer l’efficacité des actions en cours pour contrer les groupes armés et restaurer l’autorité de l’État dans cette zone en proie à des violences récurrentes.
Delphin Kankolongo
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Conflit à l’Est : Berlanga Martinez, Ambassadeur de l’UE, et Thérèse Kayikwamba Échangent sur le Retrait des Forces Rwandaises et le Soutien au M23
Lors d’une rencontre à Kinshasa ce vendredi, l’ambassadeur de l’Union européenne en République Démocratique du Congo, Berlanga Martinez, a réaffirmé la position de son organisation concernant la crise actuelle liée à l’agression rwandaise.
Dans des échanges avec la ministre d’État en charge des Affaires étrangères de la RDC, Thérèse Wagner Kayikwamba, M. Martinez a souligné la nécessité immédiate du retrait des forces rwandaises du territoire congolais et de la cessation du soutien à la rébellion du M23.
Cette déclaration intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les deux pays voisins, où la République Démocratique du Congo accuse le Rwanda de soutenir activement le M23, un groupe armé responsable de multiples attaques dans l’est du pays.
L’ambassadeur a également insisté sur l’importance de parvenir à un accord de paix durable, qui non seulement répondrait à la crise actuelle, mais garantirait aussi la prévention de futures escalades de violence.
Delphin Kankolongo
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Amélioration des Conditions des Enseignants : Raisa Malu et les Députés du Groupe 3 Alliances Mobilisés pour la Création d’un Environnement Scolaire Sûr et Inclusif
Kinshasa, l’amélioration des conditions socio-professionnelles des enseignants et la qualité de l’enseignement en République Démocratique du Congo ont été au cœur des échanges entre la ministre d’État en charge de l’Éducation nationale, Raisa Malu, et les députés nationaux du groupe parlementaire 3 Alliances. Cette rencontre s’inscrit dans un cadre de dialogue visant à renforcer l’engagement des parties prenantes pour la réussite du système éducatif congolais.
Lors de ces discussions, les deux parties se sont accordées sur l’importance de mutualiser les efforts afin de garantir un environnement scolaire sûr, inclusif et propice à l’épanouissement des élèves et à la reconnaissance du rôle central des enseignants. La ministre Raisa Malu a souligné l’engagement du gouvernement à répondre aux défis structurants du secteur éducatif, notamment à travers des réformes visant à améliorer les conditions de travail des enseignants et à promouvoir une éducation de qualité pour tous.
Les députés nationaux ont également exprimé leur volonté de soutenir les initiatives législatives et budgétaires nécessaires pour renforcer les infrastructures scolaires, améliorer les salaires des enseignants et assurer une meilleure gestion du secteur. Ce consensus témoigne d’une volonté collective de répondre aux attentes des communautés éducatives et de bâtir un système éducatif plus performant en République Démocratique du Congo.
Delphin Kankolongo
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Révision de la Constitution : « Comment parler d’État de droit sans toucher à cette Constitution ? Le peuple doit décider s’il veut révision ou changement total » (Augustin Kabuya)
Le débat politique en République démocratique du Congo (RDC) s’intensifie autour de la question du changement ou de la révision de la Constitution. Le sujet, initialement évoqué par le président Félix Tshisekedi en octobre dernier à Kisangani, a été réaffirmé avec force par le secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Augustin Kabuya, lors d’un meeting avec les militants du parti ce jeudi.
Une campagne pour le changement de la Constitution
En expliquant que cette démarche vise à sortir les Congolais de ce qu’il qualifie « d’esclavage constitutionnel ». Selon lui, la refonte de la Constitution est un impératif pour consolider l’État de droit instauré sous l’ère Tshisekedi.
Kabuya rejette les critiques de l’opposition qui voient dans cette initiative une tentative du président Félix Tshisekedi de s’accrocher au pouvoir en briguant un troisième mandat. « Ces discours manipulent le peuple. Nous n’en sommes pas là », a-t-il affirmé.
Un enjeu politique controversé
Pourtant, cette démarche suscite des inquiétudes parmi certains experts et membres de l’opposition. Le professeur Bob Kabamba, spécialiste des sciences politiques et l’un des rédacteurs de l’actuelle Constitution, estime que changer la Constitution équivaut à un « coup d’État juridique ».
Lors d’une intervention sur TOP CONGO FM, il a expliqué que « lorsqu’on change une Constitution, les institutions en place tombent, rendant leurs animateurs démissionnaires ». Ce processus pourrait ouvrir la voie à une prolongation du mandat présidentiel de Félix Tshisekedi.
Les positions de Félix Tshisekedi
Le président Tshisekedi n’a pas caché son ambition de réformer la Constitution qu’il juge inadaptée aux réalités congolaises. Lors d’un meeting à Kisangani en octobre 2024, il avait dénoncé une Constitution « rédigée à l’étranger » et proposé la création d’une commission nationale composée d’intellectuels congolais pour élaborer un nouveau texte.
Samedi dernier, à Lubumbashi, il a confirmé cette intention devant une foule rassemblée à la place de la poste.
Delphin Kankolongo
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Absence Notable de Joseph Kabila : « Il n’a pas fui le pays, il n’est pas en exil politique, il élargit sa réflexion scientifique » (Olive Lembe)
Dans un contexte marqué par des spéculations sur l’absence prolongée de Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo, son épouse Olive Lembe Kabila a tenu à éclaircir la situation.
Elle a précisé que son mari, l’autorité morale du Front Commun pour le Congo (FCC), s’est temporairement retiré du pays pour approfondir ses connaissances.
Selon ses propos, cet éloignement a pour objectif principal d’élargir la réflexion scientifique de Joseph Kabila et de revenir avec des idées novatrices pour contribuer au développement de la RDC.
Ces précisions interviennent alors que des rumeurs persistantes alimentaient des débats sur les motivations de l’absence de l’ancien chef de l’État. Cette mise au point vise à rassurer les partisans du FCC et à rétablir la vérité face aux nombreuses spéculations.
Joseph Kabila, qui a dirigé la RDC de 2001 à 2019, reste une figure influente de la politique congolaise. Sa quête de nouvelles idées témoigne, selon son épouse, de son engagement continu pour la nation.
Delphin Kankolongo
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Coopération RDC-Égypte : Thérèse Kayikwamba et Badr Abdel Ati Signent un Accord sur l’Exemption de Visas et un Accord-Cadre pour un Partenariat Bilatéral
Kinshasa, 21 novembre 2024 – Dans le cadre des consultations politiques entre la République Démocratique du Congo (RDC) et la République Arabe d’Égypte, SE Dr. Badr Abdel Ati, ministre égyptien des Affaires étrangères, a été reçu par SE Mme Thérèse Kayikwamba Wagner, ministre congolaise des Affaires étrangères.
Cette rencontre s’inscrivait dans le prolongement d’un message officiel de SE M. Abdel Fattah al-Sissi, Président de la République Arabe d’Égypte, adressé à SE M. Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la RDC.
Vers un Partenariat Stratégique
Les discussions ont permis aux deux parties de réitérer leur volonté commune d’élever la coopération bilatérale à un niveau stratégique. Ce rapprochement traduit la volonté des deux nations d’approfondir leur collaboration dans divers domaines clés.
Signature de Deux Accords Historiques
À l’issue des échanges, deux accords majeurs ont été signés :
- Exemption de visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques et de service, facilitant les déplacements officiels entre les deux pays.
- Accord-cadre de coopération RDC-Égypte, posant les bases d’un partenariat renforcé et durable.
Delphin Kankolongo
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RDC-Égypte : Le Chef de la Diplomatie Égyptienne, Badr Abdel Atty, en Mission à Kinshasa pour Consolider les Relations Diplomatiques et Économiques
Le ministre égyptien des Affaires étrangères et de l’Immigration, S.E. Dr. Badr Abdel Atty, est arrivé à Kinshasa ce jeudi 21 novembre pour une visite officielle de 48 heures. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations historiques et stratégiques entre l’Égypte et la République démocratique du Congo (RDC).
Un programme chargé pour une coopération renforcée
La visite du Dr. Abdel Atty comprend plusieurs activités clés :
- Consultations politiques : Des échanges approfondis avec les autorités congolaises visent à définir de nouvelles pistes de collaboration bilatérale.
- Signature de deux accords bilatéraux :
- Un accord d’exemption réciproque des visas pour les titulaires de passeports diplomatiques et de service.
- Un accord-cadre de coopération visant à renforcer les relations économiques, commerciales et d’investissement entre les deux pays.
- Rencontre avec la Fédération des entreprises du Congo (FEC) : Une réunion d’affaires entre des membres de la délégation égyptienne, composée de hauts responsables et d’hommes d’affaires, et les opérateurs économiques congolais.
- Visite au contingent égyptien de la MONUSCO : Un moment pour évaluer la contribution de l’Égypte dans les opérations de maintien de la paix en RDC.
Un message fort du Président Abdel Fatah al-Sissi
Portant un message officiel du Président égyptien, Abdel Fatah al-Sissi, à son homologue congolais, Félix Tshisekedi, le ministre égyptien a réaffirmé l’importance de cette coopération bilatérale.
Delphin Kankolongo
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« Si vous me condamnez, c’est la liberté d’expression, la démocratie et l’opposition que vous condamnez » (Seth Kikuni)
Lors de l’audience foraine tenue le mercredi 20 novembre 2024 à la prison centrale de Makala, le ministère public a requis une peine de trois ans de prison ferme et le paiement d’une amende de 950 000 FC à l’opposant politique et leader du parti PISTE pour l’Émergence, Seth Kikuni. L’affaire, toujours en délibéré, attend la sentence finale du tribunal.
Seth Kikuni est accusé d’incitation à la désobéissance civile et de propagation de fausses informations. Ces accusations font suite à ses propos tenus le 27 août dernier à Lubumbashi, lesquels ont été jugés comme portant atteinte à l’ordre public par le ministère public.
Les avocats de l’accusé, toutefois, restent confiants et estiment que leur client devrait être acquitté. Ils soutiennent que le ministère public n’a pas pu prouver que les déclarations de Seth Kikuni constituaient une infraction pénale. L’opposant, pour sa part, a dénoncé ce procès qu’il considère comme politiquement motivé. Devant le tribunal, il a affirmé :
“Je n’ai aucun doute sur le fait que vous allez acquitter Seth Kikuni, car je pense que si vous choisissez de me condamner, ce n’est pas Seth Kikuni que vous allez condamner, mais la liberté d’expression, la démocratie, et l’opposition”
La position de Seth Kikuni est soutenue par son porte-parole, Nathanaël Onokomba, qui évoque une arrestation à caractère politique, affirmant que l’affaire vise à étouffer la voix de l’opposition. En attendant la décision finale du tribunal, les regards restent tournés vers la justice, avec une attention particulière sur l’issue de ce dossier qui touche aux principes fondamentaux de la liberté d’expression et à la démocratie en République Démocratique du Congo.
Delphin Kankolongo
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« 1,7 milliard de dollars pour modifier la constitution ? Cette somme devrait servir à améliorer les routes et financer les bourses universitaires » (Prince Epenge)
L’opposant politique congolais Prince Epenge, Président de l’Addcongo et porte-parole du mouvement LAMUKA, a exprimé son désaccord avec les projets de révision constitutionnelle en République Démocratique du Congo. Selon lui, le coût estimé pour cette révision, s’élevant à 1,7 milliard de dollars, est disproportionné et pourrait être mieux utilisé pour répondre aux besoins urgents du pays.
Dans une déclaration récente, Epenge a souligné que cette somme colossale pourrait avoir un impact beaucoup plus significatif si elle était investie dans les infrastructures essentielles du pays, telles que l’amélioration des routes de Kinshasa, la capitale, qui compte plus de 3 600 kilomètres de voies.
En outre, Prince Epenge a suggéré que le reste de cette somme pourrait être utilisé pour financer des bourses universitaires pour les étudiants des grandes institutions d’enseignement supérieur du pays, telles que l’UNIKIN (Université de Kinshasa), l’UNILU (Université de Lubumbashi) et l’UNIKIS (Université de Kisangani). Selon lui, l’accès à une éducation de qualité est un levier essentiel pour le développement à long terme de la RDC.
Pour l’opposant, la révision de la constitution ne représente pas une priorité dans le contexte socio-économique actuel, où de nombreux défis, notamment en matière d’infrastructures et d’éducation, demeurent non résolus. Il a ainsi lancé un appel à une gestion plus rationnelle des ressources publiques, en mettant l’accent sur les besoins immédiats des Congolais.
Prince Epenge, dans le cadre de sa campagne politique, a récemment lancé une initiative de sensibilisation populaire sous le slogan « Changeons Félix Tshisekedi, pas la Constitution ». Il critique fermement l’approche du gouvernement concernant cette révision constitutionnelle, qu’il considère comme un luxe inapproprié face aux priorités de développement du pays.
Actuellement en tournée en Europe, Prince Epenge est arrivé en Belgique pour entamer des réunions avec la diaspora congolaise, suivies de visites diplomatiques à Paris, Genève et Rome. Il prévoit d’utiliser ces rencontres pour mobiliser la communauté congolaise à l’étranger et renforcer la pression internationale contre toute tentative de changement de la constitution, qu’il juge contraire aux intérêts du peuple congolais.
Delphin Kankolongo
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RDC-Canada : Judith Suminwa et Justin Trudeau Renforcent leur Coopération sur la Diversification Économique, la Transition Écologique et la Paix à l’Est
Ottawa, 20 novembre 2024 – La Première Ministre de la République Démocratique du Congo (RDC), Judith Suminwa Tuluka, a clôturé son séjour officiel au Canada par une rencontre stratégique avec le Premier Ministre canadien, Justin Trudeau. Ce tête-à-tête a marqué une étape majeure dans le renforcement des relations bilatérales entre Kinshasa et Ottawa, avec des discussions axées sur la diversification économique, la transition écologique, et les efforts pour rétablir la paix dans l’Est de la RDC.
Un Partenariat pour la Diversification Économique et l’Économie Verte
Lors de cet échange, Justin Trudeau a réaffirmé l’engagement du Canada à accompagner la RDC dans ses ambitions de développement. Il a particulièrement mis en avant les opportunités d’investissements dans des secteurs clés tels que les mines, l’économie verte, et la formation professionnelle. « La RDC représente un partenaire stratégique pour le Canada, et la forte diaspora congolaise présente ici constitue un levier pour renforcer notre coopération, » a souligné le Premier Ministre canadien.
De son côté, Judith Suminwa a exprimé l’importance de cette collaboration pour la RDC.
La cheffe du gouvernement congolais a également insisté sur le rôle essentiel de la formation professionnelle pour préparer la jeunesse congolaise aux défis économiques à venir.
Soutien du Canada à la Paix dans l’Est de la RDC
La question sécuritaire dans l’Est de la RDC a également occupé une place centrale dans les discussions. Justin Trudeau a exprimé la volonté de son gouvernement de contribuer activement aux efforts visant à restaurer la paix dans cette région en proie à des conflits armés. Ce soutien s’inscrit dans une perspective plus large de stabilité et de développement durable.
Une Coopération Bilatérale Prometteuse
La rencontre a permis de poser les bases d’un partenariat renforcé, intégrant des domaines variés allant des investissements économiques à la formation professionnelle, en passant par la gestion durable des ressources naturelles. Judith Suminwa a salué l’expertise canadienne et exprimé sa volonté de voir davantage d’investisseurs privés s’intéresser à la RDC, déjà prisée par certaines entreprises canadiennes dans le secteur minier.
Delphin Kankolongo
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