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Urgent : Après une forte résistance du M23, les FARDC et les Wazalendo reprennent le contrôle de la cité minière de Rubaya, riche en coltan

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Mercredi 22 mai 2024 – À 17h32 aujourd’hui, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les miliciens Wazalendo ont repris le contrôle de la cité minière de Rubaya, riche en coltan, après une résistance acharnée des rebelles du M23.

Les offensives, lancées tôt ce matin contre les positions du M23 et des forces rwandaises RDF, ont permis à l’armée congolaise de reprendre plusieurs localités clés dans le territoire de Masisi.

“Les FARDC contrôlent désormais les localités de Bweru, Bihambwe, Mema, Kaniro, Kavumu, Kasake, Kashovu et Bitonga. L’armée rwandaise RDF est en débandade”a annoncé le lieutenant-colonel Guillaume Ndjike, porte-parole de l’armée au Nord-Kivu

Dans le territoire de Rutshuru, les combats se poursuivent avec intensité. Le 21 mai, la coalition M23/RDF/AFC a procédé au pillage des installations solaires et électriques des bureaux de la douane de Bunagana, en direction de l’Ouganda.

“Ces terroristes ont démonté les panneaux solaires et les installations électriques qui alimentaient la Douane de Bunagana et les nouveaux bâtiments de la DGDA Bunagana,”a déclaré Patient Twizere, président du Conseil Territorial de la Jeunesse du Territoire de Rutshuru

Selon une source locale, des tables et des chaises ont également été emportées par les rebelles. Des témoins rapportent que des armes d’appui de la coalition M23/RDF/AFC, situées sur l’axe Rutshuru-Kibumba, ont été démontées pendant ces actes de pillage.

Malgré ces incidents, les FARDC continuent de progresser, regagnant du terrain jour après jour. L’armée prépare une offensive majeure sur le territoire de Rutshuru pour déloger les rebelles des zones encore occupées. Les récents succès militaires dans le territoire de Masisi illustrent la détermination des forces loyalistes à rétablir l’ordre et la sécurité dans la région. Les opérations se poursuivent avec pour objectif la libération complète des territoires sous contrôle rebelle.

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Delphin Kankolongo

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Kinshasa : Le Gouverneur Daniel Bumba devant les juges pour avoir violé la constitution dans la formation de son gouvernement

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La nomination de Daniel Bumba Lubaki au poste de gouverneur de Kinshasa a été marquée par une controverse juridique majeure dès ses premiers jours en fonction. Le gouverneur est accusé d’avoir enfreint la constitution et la loi sur la libre administration des provinces en publiant un arrêté contesté par plusieurs figures politiques et administratives de la République démocratique du Congo (RDC).

Une équipe gouvernementale contestée

Dès sa prise de fonction, Daniel Bumba a signé un arrêté nommant une équipe gouvernementale composée de 10 ministres provinciaux et 10 commissaires généraux. Cette décision a été perçue par de nombreux analystes et figures politiques comme une violation flagrante des instructions données par le vice-Premier ministre de l’Intérieur, Jacquemain Shabani. Ces instructions stipulent clairement le nombre de membres autorisés dans un gouvernement provincial.

La réaction de l’opposition

Blanchard Mongomba, secrétaire général du parti d’opposition Nouvel Elan, a été parmi les premiers à réagir. Il a déposé une plainte à la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe, le lundi 1er juillet 2024, pour obtenir l’annulation de l’arrêté du gouverneur. Mongomba accuse Bumba de violer la constitution et la loi, et insiste sur le retrait immédiat de l’arrêté contesté.

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L’intervention du ministère de l’Intérieur

En réponse à cette situation, le vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, a sommé le gouverneur de Kinshasa de se conformer aux dispositions constitutionnelles et légales concernant le nombre de membres de son gouvernement. Cette injonction souligne la nécessité de respecter les cadres légaux pour garantir une gouvernance transparente et légitime.

Opposition de la Police Nationale Congolaise

Parallèlement, la Police Nationale Congolaise (PNC) a exprimé son opposition à la nomination de la commissaire supérieure Mimie Bikela Mundele, incluse dans le gouvernement provincial. La PNC a invoqué une violation de la loi portant statut du personnel de carrière de la police nationale congolaise. Cette contestation ajoute une couche de complexité à la situation déjà tendue autour du gouverneur.

Delphin Kankolongo

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Guerre dans l’Est : L’ONU Reconduit l’Embargo sur les Armes en RDC jusqu’en 2025 en Réponse à l’Ingérence Militaire du Rwanda et de l’Ouganda

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Dans un contexte de conflit persistant à l’est de la République Démocratique du Congo (RDC), le Conseil de sécurité des Nations Unies a décidé de prolonger l’embargo sur les armes jusqu’au 1er juillet 2025. Cette décision survient alors que le pays est en proie à des agressions de pays voisins.

Le texte précise que les mesures sur les armes, les transports et les déplacements, ainsi que les mesures financières imposées par la résolution 1807 (2008) sont reconduites. Cependant, l’obligation de notification du transfert d’armes et de matériel connexe à la RDC, introduite par la résolution 2667 (2022), a été supprimée.

Implication des forces étrangères

Divers rapports des Nations Unies ont souligné l’implication de l’armée rwandaise sur le sol congolais, soutenant les rebelles du M23. Le plus récent rapport confirme également la présence de l’armée ougandaise, engagée contre les forces armées de la RDC. Cette situation complique davantage la sécurisation et la stabilisation de la région, rendant la reconduction de l’embargo sur les armes une décision cruciale mais controversée.

Delphin Kankolongo

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RDC: La Première Dame Denise Nyakeru Sollicite le Soutien du Gouvernement auprès de la Première Ministre pour le Programme « Excellentia »

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La Première Dame de la République Démocratique du Congo (RDC), Denise Nyakeru, a demandé le soutien du gouvernement pour le programme « Excellentia », lors d’une audience avec la Première Ministre Judith Suminwa, mardi. Ce programme, lancé il y a cinq ans, est devenu une référence en matière d’éducation en RDC.

Selon le compte X de la Première Dame, « Excellentia » compte plus de 350 boursiers et valorise l’excellence en offrant aux élèves les plus méritants la possibilité de poursuivre leurs études dans des conditions optimales. Denise Nyakeru a souligné l’importance de ce programme pour le développement éducatif du pays.

Dans son message, Denise Nyakeru a exprimé sa gratitude à Judith Suminwa pour l’opportunité de cette rencontre et a renouvelé ses félicitations à la Première Ministre pour sa nomination. Elle a également mis en avant les efforts de sa fondation dans les secteurs de l’éducation et de la santé, en particulier dans la lutte contre la drépanocytose, une maladie génétique qui constitue une des principales causes de mortalité maternelle et infantile en RDC.

La Première Dame a insisté sur la nécessité d’une implication accrue du gouvernement dans l’organisation des états généraux sur la drépanocytose et le soutien à la campagne de sensibilisation et de dépistage de masse, afin d’obtenir des résultats significatifs dans la lutte contre cette maladie.

Delphin Kankolongo

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Guerre dans l’Est : Les FARDC déjouent une attaque majeure du M23 à Kasehe-Busorobya et renforcent leur présence au Nord-Kivu (Général Chiko)

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Kasehe-Busorobya, RDC – Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont annoncé avoir déjoué une attaque des rebelles du Mouvement du 23 Mars (M23) dans la région de Kasehe-Busorobya. Le Général Chicko Tshitambwe, commandant des opérations dans la zone, a rassuré la population locale, l’appelant à ne pas céder à la panique ni aux discours propagandistes des rebelles.

Les combats entre les FARDC et le M23 se sont intensifiés dans le Nord-Kivu, particulièrement à Kaseghe, située à 20 km au nord de Kirumba. Après une accalmie depuis lundi, les affrontements ont repris. Les FARDC, appuyées par les milices locales wazalendo, ont lancé une offensive pour empêcher les rebelles de contourner les positions gouvernementales via Alimbongo et d’atteindre Lubero-centre par Kasugho.

Le M23, formé par d’anciens membres de l’armée congolaise, s’est révolté en 2012, accusant le gouvernement de ne pas respecter les accords de paix de 2009. Les récents combats montrent la persistance de l’instabilité dans la région. Les efforts de médiation internationale restent cruciaux pour résoudre ce conflit et protéger les civils.

Delphin Kankolongo

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RDC : La délivrance du certificat de nationalité est soumise désormais à l’ANR et à la DGM (Ministre de la justice Constant Mutamba)

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Augustin Kabuya critique Fayulu : « Il manque de compréhension de la réalité terrain et parle de développement en temps de guerre, démontrant ainsi sa méconnaissance »

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Le climat politique en République Démocratique du Congo reste tendu alors que les accusations fusent entre le parti au pouvoir et l’opposition. Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a récemment critiqué les déclarations de l’opposant Martin Fayulu, l’accusant de ne pas avoir une connaissance précise de la situation sur le terrain.

Kabuya a réagi aux commentaires de Fayulu, affirmant :

“Si monsieur Fayulu n’avait pas d’information qu’il vérifie. Il va comprendre qu’il avait tapé à côté à cause de la haine qu’il a pour ne pas dire la réalité qui se passe sur le terrain. Comment nous pouvons parler développement et stabilité économique dans une période de guerre ? Si vous trouvez quelqu’un qui développe sa théorie sous cet angle, il y a quelque chose qui ne va pas dans sa tête. Martin Fayulu parle d’une situation qu’il ne maîtrise pas quand il parle de la convocation d’un dialogue avec les parties prenantes. C’est qui ces parties prenantes ?”

Ces propos font suite au discours de Martin Fayulu à l’occasion du 64ème anniversaire de l’indépendance de la RDC. Fayulu a critiqué sévèrement le président Félix Tshisekedi, l’accusant d’indifférence et de corruption.

“Contrairement à ses déclarations démagogiques, promettant d’attaquer le Rwanda à la moindre escarmouche, Monsieur Félix Tshisekedi fait preuve d’une indifférence coupable, abandonnant la population à son triste sort. Cette irresponsabilité donne des ailes à M. Kagame au point de déclarer avec arrogance : ‘’Nous sommes prêts à nous battre si nécessaire avec la RD Congo, nous n’avons peur de rien”a déclaré Fayulu.

Fayulu a également dénoncé les scandales de corruption, le manque de ressources pour l’armée en guerre, et les conditions de vie déplorables des Congolais sous le régime de Tshisekedi. Il a mis en lumière la précarité sociale, la dépréciation du franc congolais, et les insuffisances dans les infrastructures et les services publics.

Fayulu a également accusé Tshisekedi de diviser le pays par un tribalisme rampant et de chercher à modifier la Constitution pour rester au pouvoir indéfiniment. Il a appelé à l’unité nationale et à un dialogue inclusif pour surmonter les crises politiques et défendre la souveraineté du pays.

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Delphin Kankolongo

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Kabuya critique Katumbi : « On ne peut pas parler de développement en période de guerre. Si j’étais à sa place, je me tairais. L’intelligence ne s’achète pas avec de l’argent. »

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À la fin des célébrations marquant le 64ème anniversaire de l’indépendance de la République Démocratique du Congo, Augustin Kabuya, Secrétaire général de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a vivement réagi aux déclarations de Moïse Katumbi, figure de l’opposition.

Kabuya a critiqué Katumbi pour ses remarques concernant le développement du pays.

“Nous ne pouvons pas parler de développement dans un pays en guerre ! Est-ce que Moïse Katumbi comprend même ce qu’il dit ? Si j’étais à sa place, je pouvais me taire. Vous pouvez tout acheter avec l’argent mais pas l’intelligence”a-t-il déclaré.

Répondant aux accusations de Katumbi qualifiant le Président Félix Tshisekedi de dictateur, Kabuya a rétorqué :

“Est-ce que Katumbi connaît bien la définition du mot dictature ? Je ne pense pas. S’il ne connaît pas ça, qu’il convoque ses juristes. Félix Tshisekedi n’est pas un dictateur. C’est un démocrate que la RDC n’a jamais connu. Celui qui présente son Excellence Félix Tshisekedi comme un tribaliste, il n’a qu’à se faire soigner au niveau du CNPP.”

Delphin Kankolongo

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Kinshasa : L’Assemblée Provinciale Prépare une Session Extraordinaire pour l’Investiture du Gouvernement de Daniel Bumba

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Dans les prochains jours, l’Assemblée provinciale de Kinshasa tiendra une session extraordinaire afin d’officialiser l’investiture du gouvernement provincial de la capitale de la République Démocratique du Congo. Cette décision a été prise à l’issue d’une séance plénière le lundi 1er juillet 2024, marquant la clôture de la session ordinaire de mars.

Le président de l’Assemblée, Levi Mbuta, a souligné l’importance cruciale de cette investiture pour les députés provinciaux de Kinshasa. Il a indiqué que selon l’article 176 du règlement intérieur de l’Assemblée, des consultations sont en cours avec les autorités urbaines pour organiser cette session extraordinaire.

L’événement intervient après le report de l’examen et de l’approbation du programme d’actions du gouverneur de Kinshasa, Daniel Bumba, suite à sa convocation par le vice-Premier ministre de l’Intérieur et de la Sécurité.

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Le gouvernement provincial, composé de 20 membres comprenant 10 ministres provinciaux et 10 commissaires généraux, aurait dû être investi le 28 juin dernier. Cependant, la nécessité de coordonner avec l’autorité urbaine a retardé ce processus crucial pour la gestion de Kinshasa.

Delphin Kankolongo

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RDC : Eliezer Ntambwe Fustige les Ambitions de Retour de Joseph Kabila et Affirme que le PPRD « Devrait Rester Silencieux pendant 50 Ans »

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Lors d’une émission sur TOP CONGO FM, le député national Eliezer Ntambwe a exprimé son mécontentement face à la présence significative d’anciens cadres du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) au sein du gouvernement Suminwa et auprès du Président Félix Tshisekedi. Selon lui, cette situation donne l’impression que le pouvoir est en train d’échapper à ceux qui ont véritablement lutté pour le changement.

Ntambwe a déploré que ceux qui ont été engagés dans la véritable lutte d’Étienne Tshisekedi ne représentent même pas 20 % du gouvernement actuel. Il a déclaré :

“C’est comme si nous sommes en train de perdre le pouvoir et nous regardons. Nous avons lutté ensemble mais au bout du compte, le PPRD vient récupérer le pouvoir… Nous qui avions lutté et qui sommes dans le vrai combat d’Étienne Tshisekedi, nous ne dépassons même pas 20 % au sein du gouvernement Suminwa… Aujourd’hui, nous qui avions lutté, nous sommes derrière les gens que nous avions combattu.”

Ce mécontentement a conduit Ntambwe à boycotter l’investiture du gouvernement Suminwa à l’Assemblée nationale.

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Le retour de Joseph Kabila et les accusations contre le PPRD

En réaction aux déclarations de Ferdinand Kambere du PPRD concernant un éventuel retour de Joseph Kabila au pouvoir, Eliezer Ntambwe a vivement critiqué ces ambitions. Il a affirmé que

“Ce sont des gens qui devaient se taire pendant 50 ans. Ils n’ont rien à dire. Ils ont mis le pays sous tutelle ! Sous Joseph Kabila qui pouvait citer le Rwanda dans sa bouche ?”

Ntambwe a également évoqué la gestion des services de renseignement sous l’ère Kabila, affirmant qu’ils étaient dirigés par le Rwanda. Il s’est interrogé sur l’état sécuritaire du pays avant le départ de Kabila, en disant : « Joseph Kabila est un général-major. Où a-t-il laissé le pays ? On avait quelle armée sous Joseph Kabila ? »

La sécurité du Chef de l’État et la présence d’instructeurs étrangers

Eliezer Ntambwe a aussi donné son avis sur la présence d’instructeurs étrangers dans l’équipe de sécurité du Président Félix Tshisekedi. Il a suggéré que cette mesure pourrait être une réponse à des préoccupations de sécurité, évoquant une possible influence de Christian Malanga :

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“Je soupçonne que le téléphone de Christian Malanga a parlé. Cela pourrait pousser les services de sécurité à chercher à avoir une sécurité mixte. J’estime qu’il y a renfort de sécurité. Ce qui est tout à fait normal”a-t-il conclu.

Delphin Kankolongo

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Vice-Premier ministre de l’Intérieur Jacquemin Shabani convoque les gouverneurs de Kinshasa et du Haut-Katanga à une réunion critique à Kinshasa

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Le vice-Premier ministre chargé de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, a convoqué ce lundi 1er juillet les gouverneurs Daniel Bumba de Kinshasa et Jacques Kyabula du Haut-Katanga à son cabinet. Cette convocation intervient alors que les deux gouverneurs sont interdits de présenter leurs programmes d’actions devant les députés provinciaux.

Bien que le télégramme de Jacquemain Shabani ne précise pas le motif de cette convocation, nombreux sont ceux qui estiment qu’elle est liée à la publication récente des gouvernements provinciaux.

En effet, à Kinshasa et au Haut-Katanga, les gouvernements provinciaux comptent chacun 20 membres, dont 10 commissaires généraux, ce qui constitue une violation de l’article 198 de la Constitution, qui stipule que

“le nombre de ministres provinciaux ne peut dépasser 10”

Le vice-Premier ministre de l’Intérieur avait rappelé cette disposition dans ses notifications précédentes.

À Kinshasa, l’assemblée provinciale a dû annuler in extremis la plénière de présentation du programme du gouvernement et, par conséquent, son investiture. Cependant, au Haut-Katanga, le gouverneur Kyabula a déjà présenté son plan d’action gouvernemental. Il reste toutefois la phase traditionnelle des réponses aux questions des parlementaires et l’investiture du gouvernement.

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Delphin Kankolongo

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